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vendredi 13 août 2010

Suspense du bulletin unique: la chance de la nouvelle ministre de frapper fort!

J'ai appris la nouvelle hier, on change de ministre de l'Éducation. On n'a pas attendu longtemps chez les réformistes pour profiter de l'occasion: le Conseil, qui n'a de supérieur que le nom, de l'éducation a envoyé sa torpille sur le nouveau bulletin-tin-tin, tintamarre, tintamarre, marabout-bout-bout... La pro-réformiste placée à la tête de la Fédération des commissions scolaire en «rebeurrent» épais aussi.

Ça parait presque arrangé avec le gars des vues comme timing!


Le professeur masqué a analysé la communication risible de ce club sélecte qui se prend pour l'incarnation du mécontentement du milieu scolaire. Je n'ai rien à ajouter à l'évidence de leur malhonnêteté intellectuelle qui ne me parait plus trop à démontrer.


Quant au «trop vite» changement de ce bulletin soi-disant improvisé, je ne vois pas en quoi une grille d'évaluation qui imposera une clarification dans la tambouille évaluative des dernières années - qui nous a, année après année, habitués à des ajustements constants - pourrait déstabiliser qui que se soit dans le monde de l'éducation qui a survécu à cette faillite intellectuelle en escalier improvisée à part ceux qui sont en religion: les pro-réformistes invétérés. Chez les enseignants, on doit généralement plutôt piaffer d'impatience un peu partout d'avoir enfin un système d'évaluation qui sanctionne les efforts constants et l'acquisition de connaissances et non son contraire: la passoire compétente qui encourage la procrastination continue devenue répandue chez les jeunes de nos classes, qui s'estiment aptes à se passer d'une attitude de travail sérieux d'apprentissage dans le contexte d'un système du «minimalement satisfaisant» qui n'ose pas de toute façon les recaler. Finies les discussions sans fin sur les évaluations. Enfin, la possibilité de mettre en place une structure concertée d'évaluation dans chaque équipe des disciplines et de bien préciser les contenus à maîtriser minimalement acceptable à évaluer par des évaluations standardisées et validées en équipe. On va arrêter de devoir justifier dans leur terminologie castrante le besoin de recaler un élève qui n'acquiert pas ce qu'il faut pour connaître une progression des apprentissages soutenables. Il faudra qu'il démontre une constance dans l'acquisition dans une atmosphère contrôlée rigoureusement et non l'expression miraculeuse à un certain moment d'une soi-disant maîtrise de l'acquisition qu'on ne peut reproduire.  Bref, à mon sens, on ne peut pas en finir «trop vite» avec le niaisage.

On ne peut pas tout de même pas reprendre «trop vite» le contrôle d'une évaluation qu'on nous avait retiré quand ça presse depuis des années sauf si bien sûr si on ne sait pas enseigner des contenus précis et faire l'évaluation des acquisitions, des tests quoi. Évidemment, redonner la force de sanctionner rigoureusement les élèves aux enseignants fait peur à bien du monde parmi les branleux. Ben des petits «power trip» de petits connards de direction adjointe vont avoir moins d'outils pour intimider les enseignants et vont devoir se démerder pour gérer la réalité et non la poussière sous le tapis. Bien des idiotes en poste vont arrêter de nous déstabiliser avec leur petit catéchisme de concepts vides et «renversales» qu'elles ne comprennent même pas. Ah, si on savait la joie!



Bon, je redoute qu'on ait changé de ministre pour calmer un peu le jeu et que la nouvelle ministre va peut-être s'atermoyer sur la question. Cependant, après 12 ans de culture réformiste, on a acquis la patience!

Une autre façon de la jouer, pour elle, serait d'envoyer une savate bien décochée tout de suite  à cette vieille garde usée en début de mandat et de poursuivre sur la lancée du bulletin unique. Elle aura un succès populaire immédiat si l'on en croit les commentaires sur les blogues ou à la fin d'articles de journaux électroniques laissés un peu partout où les réformistes se font rabrouer.

De toute façon, si les consignes sont le moindrement claires, on n'aura pas trop de trouble chez les profs, à tenir une comptabilité sur Excel des notes. Les informaticiens vont nous ressortir avec plaisir et dans le temps de le dire des versions GPI bien connues tout à fait adaptés au besoin de comptabilité. Aux quelques rares qui ne sauraient pas comment faire, je pense qu'il y aura bien des profs tellement de bonne humeur qui se feront un plaisir de partager leurs compétences! De toute façon, on revient en gros au système qui prévalait juste avant l'arrivée de la terrible cohorte réforme avec un brin plus de mordant dans la philosophie et la gestion, alors...

Allez, Madame Beauchamp, ne vous gênez surtout pas!




Pour en finir avec l'argument de l'estime de soi, crédo pro-réformiste

Le professeur masqué critique l'argument de l'estime de soi que, Josée Bouchard, la présidente de la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ)  nous resert pour contrer l'imminence du bulletin unique que tous ceux qui en ont assez des stupidités  des 12 dernières années attendent:

« Le nouveau modèle d’évaluation de Québec pourrait nuire à l’estime personnelle des enfants en difficulté en les faisant redoubler. Avec le système de pondération suggéré, les mauvaises notes du début de l’année scolaire pourraient faire doubler l’élève même s’il se reprend avec succès en juin.

Selon elle, des recherches ont démontré qu’un enfant qui a redoublé a plus tendance à décrocher.»


Alors finissons-en avec cet argument, crédo pro-réformiste:

Tout le monde, pro-endormant, évoque l'estime de soi en s'économisant de bien définir de quoi l'on parle tout comme, en passant, on abuse de l'expression «les études démontrent» qui n'est pas vraiment un argument quand on ne cite pas des sources précises, ni l'ensemble du contexte de recherche. Attachons-nous donc à une référence en la matière, la tradition de recherche en psychologie.

Pour la majorité des chercheurs reconnus s'étant attachés à cette dimension psychologique de l'être, l'estime de soi ne construit pas à l'évidence sur l'approbation en situation d'incompétence manifeste. Ce style de manipulation positive s'apparente davantage à la flagornerie intéressée si ce n'est pas à des habitudes sectaires hautement suspectes dont abusent les gourous. Il faudrait lire le résumé des définitions de l'estime de soi que Wikipédia  en donnent pour bien cerner ce dont on parle. Ce qui ressort dans ces tentatives documentées de comprendre cette donnée sensible du sentiment de valeur personnelle de l'individu, c'est qu'on s'estime en rapport avec un idéal de soi (valeur de ce qui est important pour soi).

«Il n'existe actuellement pas de consensus sur une définition de l'estime de soi. Mais la plupart des chercheurs, malgré des divergences parfois importantes, s'entendent sur un point : l'estime de soi se mériterait. Soit qu'il s'agisse de gagner un sentiment d'appartenance en se conformant aux exigences du miroir social (Mead, 1934), soit qu'il faille atteindre un objectif particulier pour s'autoriser une fierté personnelle (Coopersmith, 1967), soit enfin qu'il convienne de respecter des « piliers » moraux afin que la réalité récompense la vertu (Branden, 1994). Pour jouir du privilège d'une bonne estime de soi, il faudrait donc s'ajuster à des principes extérieurs à soi.» (Wikipedia)

Prônez la réussite de tous sans affirmer des critères extérieurs de réussite correspondant à une exigence sociale valorisée ne favorisent pas une estime de soi, mais encourage une inflation de soi, une illusion. Et l'école n'a manifestement pas à sanctionner positivement l'incompétence ni des mirages de réussite bidon. Car ce faisant, elle ne serait qu'une contrefaçon de l'éducation et le sentiment d'estime de soi soi-disant qu'elle engendre en ce contexte, une fausseté susceptible de connaître un naufrage des plus navrant.

Enfin, l'école n'est pas le vecteur principal de l'estime de soi, ce sont les valeurs parentales qui seraient bien plus importantes. De fait, dans une famille où l'on estime les études, ne pas réussir peut conduire à une problématique d'estime de soi. Mais réussir sans effort dans un système disqualifié permet-il de satisfaire nos valeurs de réussite scolaire? Il reste, dans l'esprit de tous, un gros doute, si ce n'est un mépris pour ce qui n'est que faussement valorisé, ce qui ne peut en aucun cas, sauf idiotie flagrante, conduire à de l'estime de soi. En gardant un système scolaire mou, on fabrique donc de l'estime de soi faible chez tous ceux qui ne réussissent pas vraiment, mais qui satisfont «minimalement» les exigences.

On peut construire une estime de soi en autant qu'on réussisse vraiment dans un domaine qui compte à nos yeux. L'école n'est qu'une des nombreuses possibilités de développer un sentiment d'estime de soi.

En somme, la meilleure façon de détruire la valeur de l'éducation a été d'empêcher les enseignants de fournir aux jeunes une rétroaction continue et claire des exigences scolaires.

Aussi, l'évaluation reste le nerf de la guerre concernant la valeur que l'on met dans notre système scolaire. Madame Courchesne, qui nous quitte, avait bien compris cela. La mécanique de faussaire des «pro-réformes» ne nous dupera plus très longtemps.

lundi 9 août 2010

Maître chez nous quand les Cow Boys débarquent? (Gaz de ... chit)

«Quand la compagnie est venue nous rencontrer, ils sont arrivés en nous expliquant qu’ils avaient tous les droits et que la municipalité n’en avait aucun. C’est à ce moment-là que j’ai vécu, personnellement, la plus grande émotion, dans le sens où je me suis sentie comme une colonisée : une compagnie australienne, un représentant de l’Alberta venus nous expliquer en anglais que ce projet-là s’en venait chez nous, qu’on n’avait pas un mot à dire et qu’ils n’avaient que la politesse de venir nous en informer...»

Et dire qu'on s'endette pour devenir propriétaire...

Car de fait, « les citoyens sont sans recours car les propriétaires de terrains ne sont pas propriétaires du sous-sol. Ces propriétaires, ce sont les compagnies minières qui ont obtenu du gouvernement des permis (claims) pour toute la Vallée du Saint-Laurent.»

On vous a consulté, vous, pour que vos représentants élus  qui nous gouvernent accordent ces claims pour TOUTE LA VALLÉE DU SAINT-LAURENT !!!!!!!

Et à l'ère de la protection de l'environnement:

Mais quelles que soient les inquiétudes des uns et des autres, il n’y a pratiquement rien ni personne qui peut empêcher les compagnies gazières d’aller de l’avant : elles possèdent déjà tous les permis pour toute la Vallée du Saint-Laurent et sont au-dessus de la très grande majorité des lois du Québec en vertu de la Loi sur les mines, une loi spéciale qui prive les instances gouvernementales, environnementales et municipales, de même que les citoyens, de l’essentiel de leur pouvoir d’intervention.

Après ça, qui croit encore que s'il découvre du pétrole sur son terrain, il deviendra millionnaire? Et que les populations qui votent ont un mot à dire sur l'environnement? Et que nos gouvernements travaillent pour les populations? Vive les droits de l'Homme!

Contrairement à Lise Payette, ce ne sont pas les mensonges des politiciens qui me rendent cynique, mais notre naïveté...

Dossier à lire sur Rue Frontenac: 

Gaz de schiste: Saint-Marc s'en va t'en guerre

Gaz de schiste – Des puits qui poussent comme des champignons
A venir:

Mardi : Sonia Lafond, mise devant le fait accompli
Mercredi : Louer son champ pour des peanuts

Foglia en parlait samedi. La prochaine Peste

Et en juin, on pouvait lire:

Le gaz de schiste sème l'inquiétude, de Charles Côté de La Presse

samedi 7 août 2010

Fissures dans l'Amérique

Cette petite nouvelle en dit long sur l'état de l'économie américaine... C'est le principal acheteur de nos exportations. La question est peut-être: combien de temps reste-t-il avant que nous en soyons là?

«Le Sénat américain a ouvert la porte mercredi à l'adoption d'un projet de loi de 26 milliards de dollars pour aider les Etats américains à financer leurs emplois de professeurs dans les écoles publiques et l'assurance maladie pour les plus démunis (Medicaid).
Les sénateurs ont voté mercredi, par 61 voix contre 38 pour mettre fin aux débats sur un texte qui prévoit des fonds d'urgence pour les Etats américains qui connaissent actuellement d'importantes difficultés budgétaires



Fissures dans le «Polytically correct»

Tiens, un petit sujet chaud pour changer!

Cet été, je suis en France en touriste pépère. Disposant de facilité d'hébergement et d'un certain confort en pleine côte d'Azur, la famille de ma conjointe y vit, j'ai le loisir de calmement vaquer à mes occupations sans trop stresser pour m'adapter, ce qui tranche avec mon mois de juin où l'on a fait, avec nos sacs aux dos, les pays scandinaves. Tranquillement, après une période des plus oisive, faite de plages et de lecture, je rouvre un peu les yeux sur ce qui m'entoure et depuis peu la télé, ici française.

Intervention française sur la délinquance «ethnique»


Fait étonnant, cet été, le gouvernement français s'active avec diverses propositions assez musclées à l'encontre d'une certaine délinquance «ethnique». Et hier carrément, des ministres se sont mis à dire ce qu'on ne peut dire en France et dans bien des pays occidentaux en fait: «Même si ce n'est pas bien de le dire, comme tout le monde sait, on ne peut pas ne pas faire un certain lien entre la délinquance et l'immigration».


Hier, on intervenait pour expulser les Gens du voyage (Roms ou Tsiganes) occupant un terrain illégalement tout en présentant les résultats d'un sondage sur l'opinion des Français concernant les mesures proposées par Sarcozy et son équipe. On y révélait de forts taux d'appui des Français à certaines mesures mises de l'avant par la présidence récemment: la possibilité de révoquer la citoyenneté française à des délinquants ethniques, une volonté d'intervenir pour enrayer la délinquance dans certains secteurs avec diverses mesures pour le moins étonnante au pays des Droits de l'Homme (rendre les parents de délinquants responsables et passibles  de peine d'emprisonnement, imposer même après la peine des bracelets électroniques aux délinquants, démanteler les camps illégaux romanichels, peine plancher de 30 ans pour le meurtre de gendarmes et de policiers, etc.)


Et les mesures, d'après ce sondage récent, recueillent un appui de la population assez impressionnant et ce, autant des gens votant pour la droite que des fidèles de la gauche. Au Parti socialiste, qui était d'abord monté aux barricades, on semble maintenant désarçonné par ce fort vent d'appui.



Observations directes de réalités dont il ne faut pas parler

Pour qui s'est un peu intéressé à la question ces dernières années, il faut dire que ces problèmes couvent depuis longtemps ici. Combien de conversations ai-je pu entendre ces dernières années où des Français expriment leur exaspération devant divers abus constatés du système par une population ethnique issue des vagues d'immigrations récentes? On sent une forte présence étrangère partout en France maintenant. A vue d'oeil, on dirait un bon 30% de la population un peu partout n'est pas de souche, comme on dit par chez nous. On aurait tort de croire qu'on trouve seulement à Paris des «zones de non-droit». Ici même à Saint -Raphaël, les Roms ont débarqué et saccagé un grand parc publique. A leur départ, on a sorti 12 tonnes de déchets de l'endroit. Dans certains quartiers de Fréjus, l'agglomération adjacente, régulièrement de jeunes arabes mettent le feu à des voitures me contait un membre de la famille élargie en visite. Sa propre bagnole y était passé il y a quelques années, lui qui travaille pour une entreprise familiale présente depuis les années 50 dans ce quartier de Fréjus. J'ai pu voir quelques jeunes à l'allure arrogante en ville qui tranchent avec les habitudes ordonnées, discrètes et polis des Français. Passer dans certaines zones deviennent des «provocations», exprimés en ces termes par des délinquants ethniques réclamant le contrôle de certaines zones qu'ils se croient en droit de s'approprier. Dans ces villes de retraités, évidemment le sentiment de sécurité est souvent remis en question par cette délinquance visible et tapageuse. Les gens se barricadent en France auront remarqué les touristes parmi les moins observateurs. Fréjus compte maintenant son quartier de RMistes (équivalent de nos BS) au couleur ethnique certaine et plusieurs s'éloignent de ces zones «chaudes». En 2007, je passais à Marseilles et on me disait de faire gaffe avec les Arabes de certains secteurs. J'ai entendu les récits épiques d'altercations nocturnes avec recours à un langage intimidant pour se faire respecter («tu te barres, l'ami, ou je t'explose la tronche!») d'un ami Québécois installé à Marseilles depuis des années. Un autre ami, un costaud, en visite chez ce dernier, s'est même fait agressé un soir sans avertissement. La réalité derrière ces sondages ne me semble pas de la fiction seulement opportuniste, contrairement à ce qu'on aimerait croire.


Ceci dit, ici la crise frappe de chômage beaucoup de gens et contrairement à ce qu'on fait au Canada, qui ne me semble pas moins frappé, on en parle régulièrement dans les médias.  Bref, les gens ont peut-être du temps pour exprimer certaines indignations qui couvent depuis longtemps. Ces périodes sont, on le sait, historiquement propice à la montée des intolérances.

Parallèle avec l'éducation

Cette situation me rappelle cet article paru au début du mois sur des mesures en Grande-Bretagne permettant le recours à la force par les enseignants à l'école. J'ai été frappé par la présence, dans les commentaires de l'article qui en faisait état sur un blogue québécois, d'un ras-le-bol de beaucoup de gens sur les conduites irrespectueuses des jeunes. Même si cette mesure ne joue pas dans l'ethnique, il m'a semblé que l'on y exprimait plus ouvertement que ces dernières années, la nécessité d'une certaine vigueur pour régler les problèmes d'inconduites.

Dans tout ceci, ne voit-on pas un peu l'expression d'un ras-le-bol du laisser-faire et laisser-être d'un manque d'interventions et d'exigences dans le domaine du respect des règles de vie en société? Il semble que l'on remette en question la recette usée de l'approche rationnelle qui consiste à tolérer et d'inviter les gens à une meilleure conduite en leur tenant un discours explicatif, en les mettant en réflexion. On commence à remettre au goût du jour des expressions comme la punition, l'autorité. J'ai vu le mot «détention» pour «retenu» sur un autre blogue. Il faut dire que je ne suis pas étonné: j'ai été témoin de classes à quelques occasions à titre de suppléant à l'allure de «zone de non droit».

Suffit les gants blancs et les pincettes?

En revenant, dans l'ethnique, j'ai été étonné de sentir une certaine interprétation  ou supposition de manipulation pour prendre le contrôle de certaines zones à Montréal par des postures «victimisantes» exagérées dans les propos d'un blogueur très fréquenté. Et ce, sans trop susciter de vagues. Vous ne trouvez pas que l'expression (l'air) du temps change un peu?

Et je me demande si finalement ces débats souvent houleux qu'on observe dans les fils de discussions sur Internet ne donnait pas finalement plus de présence réelle à certaines préoccupations des gens qui ne sont pas toujours «policaly correct», ces sujets qu'on aborde avec des pincettes depuis tant d'années.

lundi 2 août 2010

Parapentes: Examen de l'idée de la culture comme moteur de l'ascension sociale

Je suis tombé sur ce petit spectacle qu'on peut voir sur le net. L'auteur examine les ratés du modèle d'école que nous avons  ou l'idée de la culture comme moteur de l'ascension sociale des individus. Il y a dans ses caricatures, hilarantes par moment, de quoi alimenter quelques réflexions... Je ne l'ai pas encore dans son entièreté, j'y reviendrais peut-être.