tag:blogger.com,1999:blog-1354333552641617867.post14593481315786089..comments2023-05-01T19:04:33.650-04:00Comments on Prof et goéland: La question qui tueJonathan Livingstonhttp://www.blogger.com/profile/16034993988712054676noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-1354333552641617867.post-14433274182540476642013-02-24T08:40:30.027-05:002013-02-24T08:40:30.027-05:00Oui, je constate aussi un écart entre la théorie e...Oui, je constate aussi un écart entre la théorie et la pratique. <br /><br />Les jeunes sont difficiles à garder dans une concentration permettant de faire des apprentissages. Les objets d'apprentissage sont trop ambitieux. Nous sommes toujours dans la soupe post-réforme avec la mouture d'activités pédagogiques superficielles pour les bases en français et des compétences intellectuelles cognitivement trop ambitieuses pour ces âges que seuls des doués précoces sont en mesure de suivre. J'ai vu le prototype d'examen du mels de secondaire 5 en lecture et, franchement, le niveau des questions est inaccessible, tout simplement. Les compétences demandées pour répondre adéquatement à ce genre de questions à développement démontrent la déconnexion des gens qui préparent ce genre d'épreuves pour nos jeunes. Mais en même temps, ils suivent l'idéologie mise en place depuis une douzaine d'année. On aura beau nous former de toutes les manières, les miracles n'existent pas. Donc, on nous demande de tricher subtilement, on nous demande d'être complice d'une fraude et je comprends que cette exigence amorale et tacite tue bien des passions et empêche tout esprit d'équipe-école primordiale à la réussite de l'école. Pour ma part, je crois qu'on a pensé cette réforme pour torpiller l'école publique destinée au masse. Et ça marche... <br /><br />Mais bon, le cours que je suis est justement la critique de cette façon de faire l'école et une occasion de réfléchir sur de bonnes bases, pour une fois, notre réalité d'enseignant dans ce contexte consternant. Et comme je l'ai dit ailleurs, elle dure quelques mois, pas une journée vite oubliée, sans effet comme le démontre clairement des études sérieuses en éducation, c'est-à-dire qui ont des bases expérimentales. Il y en a. On aimerait que le MELS et nos facultés des sciences de l'éducation tiennent compte de la vraie science ou de celle sérieusement faite, mais le haut-clergé pédagogique et son réseau veille toujours à l'idéologie qui protège leurs intérêts, à leurs théories fumeuses si loin de la pratique.<br /><br />Un jour, peut-être, le vent va tourner!Jonathan Livingstonhttps://www.blogger.com/profile/16034993988712054676noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-1354333552641617867.post-74287714954409838382013-02-23T11:13:07.864-05:002013-02-23T11:13:07.864-05:00Formations, perfectionnements. Et puis le quotidi...Formations, perfectionnements. Et puis le quotidien nous rentre dedans. Je n’sais pas chez vous, mais ici il y a une parfaite dichotomie entre la théorie et la pratique. D’un côté on nous demande de tenir compte des méthodes unetelle et de la stratégie machin, durant les pédagos, et de l’autre on nous demande une distorsion des règles afin que les résultats concrets soient probants. ON VEUT DES DIPLOMÉS! Peu importe la façon, peu importe la réalité. Il faut dire que je n’ai plus vingt ans et là, même si les discussions relatives à l’apprentissage m’interpellent, puisque je constate que ce n’est que de la frime pour mes boss, j’ai perdu le houmf pour m’y mettre. Ceci dit, j’ai trouvé intéressant votre réflexion sur le sujet.<br />Louisehttps://www.blogger.com/profile/08713001975139828471noreply@blogger.com