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mardi 5 février 2013

Privatisation! OU Pour ces mots qui disent!


Moi aussi?

Ben non!

Je n'ai pas de menaces immédiates et, franchement, je m'en balance. Indépendant! Enfin, presque. Comme une indétermination. Comme le Québec finalement. Branleux! Je pendrais une sabbatique après 4-5 ans de constance, je ne comprends pas comment on peut être prof sans interruption! C'est tellement...! Pour respirer seul un moment donné...

Non, je voulais parler d'Un autre prof qui se privatise, on aimerait savoir, je saurai peut-être puisque que je me suis mis à  nu pour continuer de la lire. Non, que je sois un fan inconsidéré, mais bon elle fait partie d'une certaine famille en ces temps de virtualisation. Ne pas me dévoiler aurait été comme de perdre ce pot virtuel qui s'ignore, Prof solitaire, ce «lucky» pot! Original, entouré de matantes du primaire., plein de BD dans la tête... Voilà 5 ans que je suis ces gens, mes collègues anonymes qui s'expriment. Avec inconstance, j'avoue. Mais tout de même, ils font partie de ma vie, de ces vies nouvelles que le Net nous a tricotées.

Et  oui, j'existe avec un nom sans rapport avec mon pseudo, je ne m'appelle pas Jonathan. Jonathan pour des raisons littéraires, même pas bonnes! C'est le Messie que j'ai aimé chez Bach qui a débordé... Et je ne suis pas, bizarrement,  prof de français pour la forme, mais pour le fond... Ces mots qui disent... C'est bien de vous lire, comme de vous entendre, dans ces mots qui disent...


3 commentaires:

Mme Prof a dit…

Bien d'accord avec vous... Il est triste que certains sentent le besoin de se privatiser pour éviter de devoir se censurer.

Jonathan Livingston a dit…

On doit toujours se censurer quelque part quand on affiche une fenêtre publique comme un blogue. Le plus souvent, on s'autocensure ou ne publie pas certain billet d'humeur...

Jonathan n'a jamais rebondi dans le réel pour ce qui est de mon cas. Faut dire que je ne parle pas trop de cette activité aérienne (qui permet de ventiler souvent).

J'ai eu la tentation d'un blogue privé aussi, j'en ai deux que je n'alimente jamais. Écrire en pensant qu'à peu près personne ne lit, autant reprendre mon journal! Mais je vieillis...

Anonyme a dit…

Je comprends bien, je suis une ex- blogueuse... La difficulté est de pouvoir parler de son travail en enseignement, de ses difficultés et travers sans se faire démasquer. Pas toujours facile... On finit simplement par se dire que ça n'en vaut pas la peine... Tous ces gens qui attaquent, qui dénigrent. J'écrivais pour ventiler en ayant le pouls des autres... Maintenant, j'ai abandonné l'idée... Tellement de troubles pour le bien que ça donne...

Marâtre