Mais il y a peut-être aussi plus que cela…
La peur de la contamination par l’autre et de la perte de sens, de pouvoir, et d’identité dans cette ère de mondialisation est bien l’émotion majeure de notre temps. Nos institutions sont vraiment en crise en ce moment, pour ceux qui ne l’auraient pas remarqué. Et la problématique est certainement la mondialisation qui n’arrive pas à dépasser ou intégrer les nationalismes qui ont marqué la civilisation moderne. Il faut parfois de grandes manifestations sociales théâtrales pour exorciser le malaise… C’est mieux qu’une guerre mondiale, on en conviendra.
Bref… rien de nouveau sous le soleil, que le mythe de l’Apocalypse, régulièrement mis en scène, et peut-être, qui sait, donc la thérapie collective d’une humanité, en mal de ses institutions désuètes à repenser, qui se cherche.
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